MT : Pmsmp pole emploi : A quoi s’apparente le marché de l’emploi
MD : Pmsmp pole emploi : Au début du confinement, on a fait face à une forte hausse du chômage en France.
Sans surprise, les chiffres relatifs au chômage en France furent en forte hausse selon Pôle Emploi, et ce, avec le confinement en France. Même dans le reste du monde la situation reste particulièrement alarme, avec une crise économique particulièrement importante.
Ce que dit la loi sur la situation des demandeurs d’emploi
Le décret du 14 avril 2020 met en exergue les règles du chômage et prévoir des mesures exceptionnelles permettant aux demandeurs d’emploi de mieux faire face aux conséquences économiques et sociales du Coronavirus. Le texte va donc préciser la prorogation des droits et la mise en place de deux nouveaux cas de démission approuvé.
Les modalités de prorogation des droits
Face à la crise sanitaire actuelle, une prolongation temporaire de l’indemnisation des demandeurs d’emploi arrivant à terme, est possible. Aussi, on fait face à allongement du délai des bénéficiaires de l’allocation de retour à l’emploi.
Depuis le 1er septembre 2020, les jours non travaillés durant la crise sanitaire et le confinement ne rentrent pas dans l’évaluation de la durée d’indemnisation et du salaire journalier de référence. Aussi durant cette période, l’allocation ne devient assurément pas dégressive.
La démission légitime : Ce qu’il faut savoir
Exceptionnellement, il est tout à fait possible de profiter d’une allocation d’assurance chômage mais dans certains cas prévus par la loi :
- Une démission pour reprendre un travail en CDI ou CDD de 3 mois au moins ;
- Une démission dans les mêmes délais, même si l’employeur n’a pas concrétiser l’embauche effective n’ayant pas débuter le 1er mars 2020. Dans ce cas le salarié qui a démissionné devra donner à la pmsmp pole emploi soit une promesse d’embauche, un contrat de travail ou encore une déclaration de l’employeur.
Une activité économique qui peine à redémarrer
Les principales catégories de demandeur d’emploi
L’activité économique redémarre tout doucement. Selon les chiffres indiqués par Pôle Emploi, on en est encore à une hausse de 22.6% des demandeurs d’emploi. On en recense 3 catégories principales justement :
- La catégorie A : pour les demandeurs n’ayant pas encore un emploi mais contraints d’en trouver un ;
- La catégorie B qui sont les demandeurs ayant une activité réduite du fait de la crise ;
- La catégorie C, ceux qui ont une activité plus ou moins longue et qui veulent se rediriger vers les catégories B et A.
Il faut savoir qu’avec la crise sanitaire liée au covid 19, les demandeurs d’emploi de la catégorie B et C, sont classés dans la catégorie A. Rien qu’en France, au mois de mai on a recensé plus de 4 000 000 de chômeurs. Les jeunes de moins de 25 ans, représentaient à peu près 40% de ces demandeurs.
Chômage partiel en France
En ce qui concerne le chômage partiel, 85% est pris en charge par l’Etat et 15% par les employeurs. Il faut savoir que depuis le 1er mai, les salariés inactifs profitent du chômage partiel surtout, s’ils sont obligés de garder leurs enfants.
Crise du Covid : Des milliers de secteurs touchés dans le monde
La crise économique actuelle n’a pas uniquement un impact sur le chômage. En France, la confiance des ménages a fortement diminué de 8 points en avril, ce qui constitue une baisse importante depuis la mise en place de cette statistique en 1972. Il faut savoir que cet indicateur est le résultat d’un sondage fait par l’INSEE et qui donne la possibilité d’anticiper les dépenses de consommation des ménages.
Avec le moral en baisse donc, les français consomment moins. Cela a une répercussion non négligeable sur la croissance.
C’est le cas en Espagne avec un taux de chômage avoisinant les 15%. Aux Etats-Unis aussi, on fait face à 25 millions de personnes inscrites au chômage.
2
